lundi 18 juillet 2011

Code QR, marque, réel et virtuel

Toyota - Réel, virtuel, RA
Dès le début des années 2000, le Japon pressentit l'absolue nécessité de préparer la jonction des univers numériques et réels, quelquefois numériques et informatiques, composés d'une multitude d'éléments, de fonctions, d'attributs, souvent incompatibles. Il se présentait également des cas où les environnements numériques eux-mêmes, trop éloignés, nécessitaient un intermédiaire commun pour établir des relations.
Alors est apparu le code QR (QR Code en anglais, Quick Response code), à la graphie élégante proche des idéogrammes, dont l'utilisation s'est rapidement généralisée grâce à l'avénement du mobile grand public et aux opérateurs de téléphonie, qui surent imposer dans tout dispositif une machine virtuelle Java et l'application qui allait bien. Idéal pour établir des échanges entre les marques et leurs consommateurs (iMode a rapidement compté 100 millions d'utilisateurs), il est devenu le lien, le tiers de confiance indispensable. Il donne désormais accès à une information sans limite par le biais de la réalité augmentée.
Dans le reste du monde, il aura fallu attendre l'iPhone et Androïd, et des applications génériques de reconnaissance de formes pour que le code QR et plus généralement le code à barres (jusqu'à présent orienté applications informatiques) démontrent toute leur pertinence dans un monde qui va désormais être regardé et analysé par des machines, le plus souvent mobiles.

1 commentaire:

  1. de @Lau_Bee, sur Twitter, un terme qui va bien: le code QR, le chainon manquant!

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